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Autisme, vaccin et politique ...


... tout sur un sale business !

Après un débat avorté sur la vaccination en France, voici de quoi éclairer le contexte global et les enjeux d’un des sujets les plus pénibles qu’il soit : la vaccination et la montée de l’autisme. « Vaxxed »* « Vacciné: du mensonge à la catastrophe » réalisé par le dr. Wakefield est porteur d’une véritable onde de choc. Coup de projecteur sur un sujet brûlant que politiques et médias cherchent à enterrer à tout prix.


Flash back sur ‘l’étude Wakefield’


En 1995, le gastro-entérologue britannique Andrew Wakefield, reçoit dans son service des patients autistes souffrant de graves problèmes intestinaux. A son étonnement, plusieurs parents affirment que la santé et le comportement de leur enfant ont régressé suite à l’administration d’un vaccin, spécifiquement le ROR (Rougeole – Oreillons – Rubéole). Alerté par cette découverte, le chercheur examine les cas et les rapporte en 1998 avec d’autres collègues, dans une première publication de la revue The Lancet.


Loin de suggérer que ‘les vaccins causent l’autisme’, l’étude est une présentation de cas et le rapport conclut très prudemment qu’il faudrait une étude à plus large échelle examinant ce vaccin spécifique. Wakefield et ses collègues suggèrent qu’en attendant, l’on favorise l’administration de vaccins isolés plutôt que combinés. Logique, car ce vaccin en particulier avait déjà été retiré deux fois du marché, suite à des cas de méningite au Canada et en Grande-Bretagne.


Mais l’affaire dérange et plutôt que de modifier le programme de vaccination, le pouvoir en place décide d’éliminer l’étude et ses auteurs: c’est ainsi que le journaliste Brian Deer monte un dossier contre Wakefield et ses collègues, accusés de conduite non éthique. *


Même s’il reçoit au contraire le soutien et la gratitude des familles (comme en témoignent les parents dans le livre ‘Autiste depuis le vaccin’), Wakefield subit alors un véritable lynchage médiatique et un procès en justice qui mettent fin à sa carrière médicale et scientifique et le forcent à s’exiler aux Etats-Unis. Fait exceptionnel aussi, le journal The Lancet, rétracte l’étude.


C’est à la même époque que l’on commence à observer une augmentation constante des cas d’autisme, alors que sur le fond, la question de la sécurité du vaccin ROR reste fondamentalement sans réponse.


En 2004, à la demande du sénat américain inquiété par le sujet, le CDC, la plus haute autorité scientifique américaine, publie donc une étude statistique à grande échelle: le rapport conclut qu’il n’y a aucun lien entre l’autisme et la vaccination, qu’il n’y a pas lieu de modifier les programmes de vaccination et qu’il convient de mettre un terme à toute autre recherche sur la question.




Les chiffres augmentent, les témoignages et les hypothèses se multiplient


Alors que les chiffres de l’incidence d’autisme augment de manière exponentielle, et que l’on voit également de plus en plus de cas régressifs débutant au moment des vaccinations, les hypothèses sur la raison effets secondaires se multiplient.


On assiste d’abord à une confrontation d’études : l’étude Wakefield est d’abord répliquée dans divers pays par des instituts indépendants. Certains gouvernements retirent le vaccin ou l’obligation vaccinale, comme par exemple le Japon suite à de nombreux cas de méningites post-vaccinale.


D’autres chercheurs se penchent ensuite sur les sources de risques liés aux vaccins : l’utilisation d’adjuvants toxiques comme le mercure ou l’aluminium, l’utilisation de matériel génétique parfois modifié, remplaçant l’antigène naturel, l’utilisation de souches vivantes atténuées, particulièrement si elle sont combinées, l’administration d’acétaminophène (paracetamol) dont les effets seraient nocifs en particulier au moment du vaccin ou encore l’âge auquel le vaccin serait administré, c’est à dire lors de phases cruciales du développement cérébral et immunitaire.*


En parallèle, le gouvernement, les compagnies pharmaceutiques et les fondations philanthropiques investissent des fortunes dans la recherche génétique et des études strictement statistiques sur la question des vaccins. Les experts s’expriment au journal télévisé et dans les talk show affirmant que ‘étude, après étude, après étude on a prouvé qu’il n’y a pas de lien entre l’autisme et la vaccination’. De leurs côté, les compagnies pharmaceutiques se couvrent grâce à une nouvelle loi les déchargeant de toute responsabilité juridique ou financière en cas de dommages vaccinaux.


Des people et des politiques s’expriment : certains font mine de se vacciner face caméra, mais d’autres, comme les acteurs Jenny Mc Carthy et Jim Carrey, témoignent de cas de régression post-vaccinale et de l’intérêt de nouveaux traitements, comme la prise en charge ‘biomédicale’.


A côté des études spécifiquement liées à la question des vaccins, de nombreuses recherches commencent à révéler d’autres facteurs biologiques liés à l’autisme : on y retrouve par exemple 7 fois plus de troubles gastro-intestinaux que dans la population normale* . Malheureusement, en raison du lien évident avec l’étude Wakefield, ces travaux sont systématiquement ignorées.


Avec la montée en flèche des cas d’autisme, l’hypothèse d’un syndrome d’origine purement génétique frise le ridicule. Cependant, les discours officiels mentionnant toujours ‘une étiologie mal connue’, et citent des facteurs environnementaux ‘probables’, mais ‘que l’on ignore et qui nécessitent des recherches complémentaires’.


La croisade de Bill Gates


Bill Gates fait de la vaccination sa croisade personnelle, une mission qui s’insère dans l’accomplissement de ses efforts pour contrôler le taux de croissance des populations mondiale. En 2010, il déclare dans une conférence TedX « Si nous faisons du bon boulot avec de nouveaux vaccins, des soins de santé et des services de planning familial, nous pouvons réduire la croissance démographique de 15% » * L’idée implicite du discours de Gates est probablement qu’en ‘diminuant les maladies et la mortalité infantile, le désir d’enfants diminue’. Comme cette hypothèse n’est jamais développée, ni argumentée dans ses présentations, ses détracteurs s’interrogent quant à l’efficacité de ses campagnes de vaccination, allant même jusqu’à suspecter des campagnes de stérilisation.


Des accusations en ce sens envers la fondation Gates ont d’ailleurs vu le jour dans plusieurs pays du tiers-monde, dont l’Inde* et le Kenya*.

C’est en effet principalement dans le tiers-monde que la fondation Gates investit une gigantesque fortune. C’est également là que sont effectués un bon nombre d’essais cliniques, dans des conditions parfois plus que douteuses, comme en témoigne le rapport de l’ONG néerlandaise Wemos*.


Gates dépense près de 10 milliards de dollars pour des programmes de vaccination, principalement en Afrique et dans les pays du tiers monde. Interrogé sur la sécurité vaccinale ou sur le lien entre autisme et vaccination, Gates n’hésite pas à traiter Wakefield de menteur, charlatan et criminel et le tient pour responsable de la mort de millions d’enfants, ‘morts de maladie, car non vaccinés’. Il ne faut donc pas s’attendre à ce que Wikipedia mette à jour ses dossiers sur Andrew Wakefield.



L’expert du CDC avoue la fraude


C’est en 2014, qu’on assiste à un véritable coup de théâtre ! Au milieu de cette intense polémique, dix ans après la sortie de la fameuse étude, pétri de culpabilité, William Thompson, l’expert principal du CDC, avoue avoir manipulé les données pour cacher des résultats alarmants. Selon lui, les données infirmant le lien entre l’incidence d’autisme et le vaccin ROR, révélaient exactement le contraire : un risque particulièrement élevé.


Ce risque était surtout présent dans deux groupes : les enfants afro-américains et les cas d’’autisme isolé’ (strict), c’est-à-dire n’ayant pas d’autre pathologie que l’autisme : les enfants ‘auparavant normaux’.


Contrairement à toute attente, ni le CDC, ni la presse, ni les autorités du ministère de la santé ne se saisissent du fond de cette affaire extrêmement embarrassante. Une nouvelle campagne médiatique est organisée pour réfuter le lien entre autisme et vaccination. Dans un communiqué désormais historique, la journaliste de CNN Elisabeth Cohen, affirme en stigmatisant les parents « L’autisme n’est pas un effet secondaire des vaccins. Et répétons le pour les parents qui n’entendent pas bien : les vaccins ne causent pas l’autisme ».


Outrés, les parents réagissent à leur tour en postant plusieurs centaines de témoignages vidéos en ligne : « Voici mon enfant. Voici ce qui lui est arrivé. Oui les vaccins sont cause d’autisme »


Le ‘retour de la rougeole’ et le durcissement de la politique vaccinale


Début 2015, quelques centaines de cas de rougeole sont déclarés à travers le pays. Une centaine auraient contracté la maladie à Disneyland. Les médias s’emparent de la nouvelle pour stigmatiser les personnes non-vaccinées et désigner Wakefield et les familles autour de lui comme responsables de l’épidémie. Loin de revenir sur les questions scientifiques et les études, ou de s’interroger sur l’efficacité du vaccin - la plupart des cas ayant été vaccinés- ou sur la mise à disponibilité de vaccins isolés, le discours se cristallise dans une opposition pro- ou anti-vaccin.


La ‘grande épidémie’ de rougeole a dénombré 625 cas…Alors qu’aux Etats-Unis, un nombre équivalent d’enfants recevant un diagnostic d’autisme est enregistré…tous les trois jours. De quelle épidémie parle-t-on ?

La plupart des pays industrialisé ont aujourd’hui un taux d’incidence qui va de 1 enfant sur 38 à 1 sur 150 et l’explication de la montée des chiffres par de meilleurs tests de diagnostics, ne peut refléter qu’un faible pourcentage de cette montée alarmante.


Mais désormais, quiconque questionne un aspect de la vaccination et des politiques obligatoires est tout simplement catégorisé comme anti-vaccin, charlatan, criminel, comploteur ou mythomane.


Bientôt la guerre médiatique s’intensifie. Fin juin, la mort du dr. Jeff Bradstreet, un des principaux médecins à dénoncer des cas d’autisme post-vaccinal, exacerbe les tensions : 2 jours après une raffle de la FDA sur les dossiers de sa clinique, l’homme, lui même père d’un enfant autiste, est retrouvé au fond d’une rivière avec une balle dans le ventre. La famille crie au meurtre et lève des fonds pour mener une enquête.


En parallèle, les politiques vaccinales durcissent. Sous l’impulsion du CDC, de nombreux états américains s’emploient à augmenter les vaccinations obligatoires et à supprimer les possibilités d’exemptions vaccinales. ‘Désormais, il ne devra plus être possible de se soustraire à la vaccination’. L’argument fait rage en Californie, qui finit par voter la loi SB277 annulant les motifs d’exemption non motivés médicalement. En juin dernier, une mesure supplémentaire impose également la vaccination des personnes adultes.


Vaxxed, le film qui ‘contre attaque’



S’appuyant sur les aveux et les preuves fournies par Thompson, Wakefield décide alors de porter la fraude du CDC au grand public. En avril dernier, il sort un documentaire avec l’aide de parents « Vaxxed, Vaccinés : de la dissimulation à la catastrophe ». Robert de Niro, père d’un enfant autiste, programme la sortie du film à son festival de cinéma documentaire Tribeca afin de rouvrir le débat, mais le retire en dernière minute, sous le poids des pressions.


Censuré dès avant sa première projection, le film est honni par la critique pour qui le sujet est tout bonnement inacceptable. Mais les associations de parents et les médias alternatifs s’organisent, afin de mettre en place des projections via des réseaux indépendants et des salles privées.


Sur la scène politique, le sénateur Bill Posey exige désormais la comparution de William Thompson devant le congrès, mais celui-ci ne semble pas vouloir réagir. Thompson est également appelé à comparaître dans un procès d’autisme post-vaccinal, mais sa hiérarchie le lui interdit.


La campagne présidentielle


Sans surprise, le sujet n’échappe pas à la campagne électorale. Hillary Clinton twitte joyeusement ‘Le ciel est bleu, la terre est ronde et les vaccins sont sûrs’. Le CDC, les représentants de l’OMS et des associations médicales martèlent en choeur la phrase ‘la science est limpide, il n’y a pas de débat’. Barack Obama se fait vacciner devant les caméras pour donner le bon exemple, tandis que nos politiques feignent l’ouverture et la transparence tout en adoptant le même ton dogmatique. Idem pour Marie-Sol Touraine : « la vaccination, ça ne se discute pas ».


A l’opposé, ‘Seul contre tous’, Trump soutient précisément le contraire depuis plusieurs années « J’ai pu constater moi-même des cas d’autisme post-vaccinal » « On injecte trop de vaccins, trop tôt. Les bébés reçoivent des doses de cheval. Il faut éclaircir le lien entre autisme et vaccination ».


Est-il touché de manière personnelle ? Au soir des élections, l’Amérique découvre son fils Barron, un jeune garçon qui semble indifférent à la victoire de son père. Sans lui coller une étiquette d’autisme, il semble évident que cet enfant présente au minimum des troubles sensoriels et de très faibles aptitudes sociales. Le garçon est d’ailleurs très protégé par sa famille et reçoit une éducation privée. Difficile de savoir dans quelle mesure la question de l’autisme a affecté les votes, mais il est évident que le résultat des élections ouvre un nouveau chapitre dans cette histoire.


Vaxxed en tournée révèle l’ampleur de la tragédie


Après les première projections début avril et durant toute la compagne présidentielle, l’équipe de Vaxxed a accompagné chaque projection du documentaire. De ville en ville, les rencontres et les débats ont se sont organisés. Mais surtout, c’est un immense afflux de personnes qui sont venues pour témoigner et raconter leur histoire d’une vaccination qui a mal tourné. Il y a bien sûr les cas d’autisme après le vaccin ROR, mais il y a aussi un nombre inimaginable de décès, souvent qualifiés de ‘mort subite du nourrisson’ et de très nombreuses jeunes filles paralysées après le vaccin HPV.


Pour la première fois, les parents et les familles trouvent un lieu pour exprimer leur douleur. Ils sont loin d’être seuls à avoir vécu ces expériences : malgré les évidences, les faits ont été niés, certains ont même été harcelés ou menacés.


Dans chaque ville, on enregistre de nouveaux récits. Peu à peu, l’ampleur de ce désastre humain est en train de se révéler. En moins de 6 mois, ce sont plusieurs milliers de familles qui ont témoigné des souffrances vécues et des dommages vaccinaux étouffés. Les familles se rassemblent, un mouvement citoyen semble poindre à l’horizon.



Une vague de débat à l’échelle mondiale ?


Au lendemain de la victoire de Trump, le président sortant Obama se presse de signer un ‘avancement de l’Agenda de la Sécurité Sanitaire Globale’ (GHSA) censé éradiquer les maladies infectieuses par la vaccination à l’échelle planétaire. De manière incompréhensible, la priorité absolue semble être mise sur la rougeole et le vaccin ROR. L’action vise une couverture à 90% dès l’âge de 15 mois.

Bill Gates, encore lui, soutient ardemment l’initiative, allant même jusqu’à fournir un programme permettant de ‘détecter les risques’ par l’analyse des registres vaccinaux, afin de déterminer les cibles prioritaires.


Il n’y a pas pourtant pas de récit de populations ayant été décimées par la rougeole. Pourquoi s’acharner à promouvoir le vaccin le plus problématique à l’échelle mondiale?





Sur la scène internationale, cette politique devrait ouvrir un large débat, toutefois il n’en est rien, ou fort peu.


Dans ce contexte, la diffusion du film Vaxxed et les débats qu’il suscite dépasse de loin la sphère de l’autisme et revêt un véritable enjeu politique.


En Italie, le sénateur Bartolomeo Pepe avait organisé une projection du film devant ses collègues de la chambre afin de relancer le débat. Malheureusement, le président du parlement est intervenu en dernière minute pour l’interdire. Quand au film il a été racheté par un distributeur qui l’a finalement enterré.


En Australie, où l’autoritarisme règne déjà en matière de santé, puisque l’on incite à dénoncer les non vaccinés (à quand l‘étoile jaune ?), la sortie du documentaire a failli être annulée ‘en raison d’affrontements possibles entre partisans et opposants à la vaccination’. En parallèle, la presse a relayé une ‘épidémie de pas moins de huit cas de rougeole’, incriminant les ‘anti-vaccinalistes’


A l’heure actuelle, aucun distributeur n’a encore osé prendre le risque de sortir le film en salle en France ou en Belgique. On voit à quel point le sujet est sensible et comment le pouvoir en place tente à tout prix d’éviter le débat.


Si l’on garde en mémoire le fait qu’une organisation comme l’OMS est financée à 70% par le secteur privé et que les commissions aux politiques versées par l’industrie pharmaceutique dépassent celles du pétrole ou de l’armement, la mise à plat des politiques vaccinales pourrait bien faire trembler tout un système de gouvernance à l’échelle internationale.


A suivre, absolument !



Senta Depuydt






www.vaxxedthemovie.com

Video de Brian Deer https://www.youtube.com/watch?v=7UbL8opM6TM

Réponse de Wakefield https://www.youtube.com/watch?v=mT0VzAvfnb4

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47 000 nouveaux cas de polio associés à la vaccination selon Vashisht N1, Puliyel www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22591873 et

http://www.4thmedia.org/2013/05/bill-and-melinda-gates-polio-vaccine-caused-47500-cases-of-paralysis-and-death/

https://www.lifesitenews.com/news/kenyan-gvmt-launches-probe-into-claim-un-is-using-vaccines-for-mass-sterili

Voir en ligne Vaxtruth.org ou ‘hear this well : vaccines do not cause autism’


Sloan foundation : http://www.naturalnews.com/053449_Tribeca_Film_Festival_Sloan_Foundation_eugenics_and_depopulation.html

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